Novillos de Fernando Peña, montrés à leur avantage l’an dernier.
Cette année nous allâmes a mas du pire au meilleur. Le pire ce fut le premier,
passnt plus de temps couché que debout, le meilleur le dernier, de trapio
imposant pour un novillo, avec un berceau imposant, poussant la cavalerie à
reculer sur une bonne dizaine de mètres, noble, il y’eu même une pétition de
vuelta. Très noble le 5ème. Quelques cornes « escobillées », le 1er et le 4ème
en particulier.
El
Adoureño (que l’on continuera à appeler Yannis !) a largement dominé la tarde.
Il amène son toro au centre pour de belles naturelles citées de face. Le toro
se retourne vite, mais Yannis enchaîne en se croisant ajoutant un adorno en
prime. Manoletinas pour terminer. Mais 6 descabellos auront raison du succès.
Silence. A son deuxième, à noter un quite qui lui vaudra le prix correspondant
attribué par le club taurin.Il attaque sa en faisant venir son toro sur des
cambiadas au centre. Belles séries de naturelles allurées, tirées au maximum.
Yannis en veut, il torée avec élégance et temple. Une série de pechos pieds
rivés au sol et des circulaires enchainées dans les cornes. Une demie sera
suffisante et l’oreille tombera !
(Corrida Passion)
(Corrida Passion)